Rédaction à propos de notre voyage d’étude à Toulouse avec l’OS Application de mathématique et Physique.
par Michael Perret par
Toulouse ? Une belle ville ayant une belle histoire derrière elle mais pour une fois on ne va pas la visiter pour ses activités touristiques habituelles. Cette fois-ci, c’est pour découvrir la Cité de l’espace et tous ce qu’elle contient comme découverte que l’on imagine même pas. Puis à Toulouse, si vous ne le savez pas, c’est une ville très importante depuis un moment déjà car c’est là où les Airbus A380 sont assemblés.
Dimanche 25 avril 2010 :
Nous avions rendez-vous à 11 heure devant la borne de checking d’Easyjet à l’aéroport international de Genève afin de prendre un vol direction Toulouse pour ce voyage d’étude qui paraissait super intéressant et qui le sera. Bonne nouvelle tout le monde fut présent. On embarqua et on décolla. Puis, nous sommes arrivés à Toulouse à 13h40. Il nous fallait prendre le bus pour rejoindre l’hôtel mais le guichet pour les billets n’ouvrait qu’à 15h et donc nous avons pu nous balader dans l’aéroport pour attendre. Finalement, on a eu les tickets et le bus qui nous à amené à la gare Matabiau depuis laquelle nous marchâmes jusqu’à l’hôtel des Ambassadeurs, situé à 5-10 minutes de marche.
Nous fûmes accueillit et nous pûmes prendre possession de nos chambres.
Le soir, c’était libre alors nous sommes sortis visiter Toulouse et pour manger. C’est ce soir-là, qu’avec David Sequiera, Josué Guerra, Jérémie Francfort, Tharshiga Thambirajah et Zhao Peng, nous avons fait la plus grande visite de Toulouse. De plus, nous avons aidé de jeunes demoiselles en détresse qui portaient une copine complètement saoule, à la ramener chez elle. Puis, nous sommes finalement rentrés à 1h30 et nous avons été surpris que les professeurs boivent un petit café en bas de l’hôtel. Nous nous sommes endormis tout de suite.
Lundi 26 avril 2010 :
Nous avons visité la Cité de l’Espace. Pour y aller, nous primes plusieurs bus et nous y sommes arrivés vers 9h15. De 9h30, nous pouvions visiter jusqu’à 11h30.
Les thèmes abordés dans cette « station » était la Terre, l’espace, la communication à distance grâce aux satellites, l’utilisation de ces mêmes satellites pour observer la Terre et prévoir par exemple la météo, comment vivent les astronautes dans l’espace et ce qu’ils y découvrent. De 11h30 à 12h30 on a tous manger au restaurant. A 14h nous avions un film en 3D sur la station spatiale ISEE dans l’Imax/Planétarium.
(à l’intérieur il y avait un mur d’une hauteur impressionnante et couvert de plantes)
Ce film fut un spectacle impressionnant car on avait l’impression d’être avec les astronautes qui s’entrainaient dans une immense piscine pour simuler le vide dans l’espace. De plus, on parlait du satellite Hubble qui a permit de prendre les premières photos de la Terre depuis l’espace. On a aussi pu voir ce que l’espace nous réserve beaucoup de surprises comme les nébuleuses, des étoiles, d’autres galaxies et tout ce qu’on découvrira plus tard. A 15h30, nous avions un autre film mais cette fois dans une salle ou nous étions couchés comme si on regardait le ciel. Cela racontait l’histoire des planètes, de leur formation et des galaxies. C’était très intéressant mais je connaissais déjà la plupart des choses parce qu’en géographie on avait déjà fait l’astrologie et l’espace. Ensuite, nous sommes rentrés à l’hôtel et nous pouvions faire ce qu’on voulait. Nous sommes sortis mais nous n’avons pas beaucoup marché du fait que la veille on avait déjà vu plein d’endroits.
Mardi 27 avril 2010 :
(Parc près de la Place de la Daurade)
Nous avons visité Toulouse pour la deuxième fois, nous avions déjà vu quelque place et lieu dès le premier jour, mais pas la Place du Capitole, ni la salle des Illustres et la salle des mariages (à l’intérieur du Capitole).
Puis, nous sommes allés au Couvent des Jacobins, sur le Pont Neuf, sans le traverser, dans la Cour intérieure de l’Hôtel Assezat et pour finir la place Esquirol. J’avais vraiment mal au pied à la fin de cette journée.
Mercredi 28 avril 2010 :
Nous avons du nous lever pour travailler, ce qui fut assez dur. D’ailleurs certains ne se sont pas levé du tout. Nous étions tous réunis, 2ème et 3ème pour réfléchir en commun par groupe de 4-5 à propos de 4 petits problèmes :
L’un concernant la poussé de l’Airbus A319 qu’il fallait trouver en la calculant à partir d’estimation.
Un autre dans le même genre mais il fallait calculer la poussée de la fusée Saturne V sachant qu’elle brûlait 15 tonnes de carburant par seconde.
Le troisième avait pour but de trouver la période d’un satellite en orbite basse.
Et le dernier était de calculer la vitesse d’un satellite géostationnaire.
Puis. nous nous sommes allés visiter les halles de montages de l’Airbus A380. Nous avons pris le bus 70 jusqu’à Georges Brassens et après nous avons marché car on ne trouvait pas le bus pour faire le dernier bout. Il faisait très chaud. Arrivé sur le site de l’Airbus, nous avons reçu des pass « Visiteur » et nous avons du laisser tout nos appareils permettant de prendre des photos. J’ai trouvé ça un peu nul de ne même pas pouvoir prendre de photo. Surtout que la visite ne montrait pas grand chose de la conception des Airbus A380. Malgré ce point, vers 13h30, nous avons pu prendre place dans un concorde, le Mach 2, qui avait fait plusieurs fois l’aller-retour Paris => New-York à la vitesse du son avec à son bord 100 personnes. Puis après nous avons visité les halles de montages de l’A380, un immense bâtiment de 40 mètres de haut et d’une très grande longueur car il peut y avoir 4 avions dedans.
La visite était globalement bien même si on n’a pas pu l’immortaliser avec des photos. Enfin, nous sommes rentrés et le soir nous sommes sortis pour aller en boîte même si 2 étaient fermées et la 3ème nous n’avons pas pu tous entrer alors une partie, dont moi, sommes rentrés après s’être baladé une dernière fois dans Toulouse puisque le lendemain nous devions rentrer.
Jeudi 29 avril 2010 :
Le matin, David et moi ne nous sommes pas lever puisqu’on pouvait dormir jusqu’à 10 heures. Malheureusement, ceux qui n’avaient pas participé mercredi matin ont du se lever pour rattraper les activités. Nous avons fait nos valises et nous sommes descendus en bas parce qu’on devait rendre les chambres. Puis, nous sommes allés à la gare Matabiau prendre le bus direction l’aéroport pour prendre l’avion et retourner à Genève. Lors du décollage, nous avons du chronométrer le décollage de l’avion pour voir si les estimations de mercredi était juste. Après l’atterrissage à Genève, nous avons donné ces valeurs aux professeurs et nous pouvions rentrer chez nous.
Bilan :
Ce voyage était super, j’ai vu des choses que j’avais étudié en cours mais que je n’arrivais pas à me représenter tel que les nébuleuses, les sortes de planètes (gazeuses, solides) et ce que les satellites permettent de faire. J’aurai voulu pouvoir prendre des photos de l’Airbus A380 mais ce n’est pas grave. Je remercie les professeurs d’avoir pu permettre à ce voyage de voir le jour.
par Ino Simitsek par
L’objectif de cet article est de décrire comment une communauté de pratiques (CoP) d’enseignants en mathématiques a été mis en place dans un établissement scolaire genevois : le cycle du Vuillonnex.
La Communauté de pratiques des MERM a pour objectif la mise en commun, le partage et la circulation des pratiques des MERM. Il s’agit de créer et mettre en place la communauté de pratiques des MERM. La mise en commun implique de partir de nos pratiques actuelles des MERM puis, pour les partager, il nous faut les présenter à nos collègues et mettre à disposition un support écrit contenant toutes les informations nécessaires afin qu’elles puissent être comprises et réutilisées par autrui. Il faut également convenir d’un lieu de stockage commun. Nous avons choisi Educanet2.
Huit types de contributions ou pratiques des MERM ont été définis :
– un chapitre de théorie pour les MERM
– MERM et évaluation
– une activité MERM d’introduction à une notion
– une réalisation en classe avec les MERM
– les activités MERM réalisées pour un chapitre
– une erreur des corrigés des MERM
– une utilisation du CD-ROM Indigo
– une autre utilisation des MERM
Une fiche de description a été confectionnée pour chaque type de contribution.
Structure et organisation
Le partage des pratiques s’organise de la façon suivante :
– Les enseignants sont répartis en trois groupes, soit un groupe par degré. Nous nous réunissons tous les mois : ce sont les réunions des sous-groupes MERM.
– Les enseignants travaillent en miroir. Ils forment des dyades. Pour chaque réunion les dyades choisissent une contribution. Un membre de la dyade apporte le contenu : il fournit la contribution et remplit la fiche de description. L’autre membre vérifie la contribution et veille à ce que son contenu soit réutilisable. Pour la contribution suivante, les rôles - rédacteur, correcteur - sont alternés. Aux réunions chaque dyade présente sa contribution.
– La mémoire du projet - les fiches de contributions remplies sont stockées sur Educanet2.
– L’information : les communiqués mensuels - tous les mois le RD distribue une brève description des contributions du mois afin que tous les membres du groupe de maths puissent être informés de ce qui est mis à leur disposition.
Qu’est ce qu’une CoP ?
« Une communauté de pratique ce n’est pas qu’un site web, une base de donnée et un répertoire de ’best practices’. C’est un groupe qui interagit, apprend ensemble, construit des relations et à travers cela développe un sentiment d’appartenance et de mutuel engagement. »
[Cultivating Communities of Practice, E. Wenger et al, 2002].
« Une communauté de pratique (CoP), c’est un groupe de personnes qui s’adonnent à la même pratique. Afin d’améliorer cette pratique qui est la leur, ils discutent ensemble, se donnent des trucs, partagent des façons de faire. Les interactions entre les participants font avancer le savoir commun de la communauté. Trois éléments caractérisent une communauté de pratique. Ce sont les suivants : l’engagement mutuel des participants, l’entreprise conjointe qui les réunit et le répertoire d’outils, conceptuels et techniques, qu’ils partagent et développent. »
http://www.telelearning-pds.org/cop...
« Le concept de pratique évoque le « faire », mais pas seulement. Il s’agit de l’action dans un contexte historique et social qui donne une structure et un sens à ce que nous faisons. Dans ce sens, la pratique est toujours pratique sociale. »
[Communities of practice. Learning, meaning and identity, E. Wenger, 1998]
« Une communauté de pratique est définie fondamentalement comme un lieu d’échanges d’idées et d’actions et de compréhension des points de vue d’autrui : en mettant en commun leurs stratégies d’enseignement, les enseignants sont amenés à expliciter leurs pratiques quotidiennes et à apprendre de leurs collègues. »
[Technologie et innovation en pédagogie. Dispositifs innovants de formation pour l’enseignement supérieur, B. Charlier et D. Peraya, 2003]
Les participants
Trois groupes d’enseignants ont été constitués, soit un groupe pour chacun des degrés 7-8-9. Un superviseur ou antenne MERM a été désigné dans chaque de ces groupes. Il dirige les réunions et collecte les fiches de description à mettre en ligne sous Educanet2.
Les contributions
Tout au long de la formation chaque contribution à la communauté de pratiques des MERM a fait l’objet d’une brève description dans l’environnement Educanet2. Ces communiqués informent les participants qui ne sont pas membre d’un groupe, des fiches descriptives ainsi que du matériel pédagogique mis à leur disposition sous Educanet2.
Les descriptions de toutes les contributions à la communauté de pratiques des MERM du Vuillonnex ont été rassemblées dans les trois tableaux ci-dessous. Le nom du fichier contenant la contribution complète est indiqué à côté du logo ?. Les fichiers des contributions sont disponibles sur le CDROM de bilan de la formation.