Un séjour à Toulouse
par Sebastian Rios Sueiro par
Un voyage à Toulouse nous attendait et nous avions prévu de visiter la Cité de l’espace et Airbus. Ces visites nous occuperaient 2 jours, c’est pour cela que nous devions proposer un endroit à visiter pour un autre jour. Étant donné que je suis un fan de football, j’ai voulu présenter le mythique stade de Toulouse.
Préparation du voyage
Toulouse est la principale ville du Sud-Ouest de la France. C’est le chef-lieu du département de la Haute-Garonne et de la région Midi-Pyrénées.
C’est une ville comportant 439 453 habitants.
Berceau de la firme Airbus, Toulouse est aujourd’hui une technopole européenne qui regroupe de nombreuses industries de pointe en matière d’aéronautique, d’informatique et de spatial, ainsi que de nombreux instituts de recherche. C’est également une ville étudiante, la quatrième de France avec 94 000 étudiants, dotée d’équipements culturels de prestige comme le centre des congrès, la médiathèque José-Cabanis, le Zénith, le musée d’art moderne et contemporain des Abattoirs, la cité de l’Espace ou encore le Théâtre national de Toulouse (TNT).
Mais Toulouse est aussi connu pour son magnifique stade, qui a accueilli des événements importants comme la coupe du monde en 1998, celle de rugby en 2007, mais aussi des événements non sportifs comme le concert de Michael Jackson.
Le Stadium Municipal est la plus grande enceinte sportive de Toulouse. C’est le septième plus grand stade français. Il accueille l’équipe professionnelle du Toulouse Football Club ainsi que les grands matches de rugby du Stade toulousain en H Cup (Coupe d’Europe) ou en Top 14 (première division professionnelle). Il a également accueilli des tests matchs de l’équipe de France de rugby à XV. Il est situé sur l’île du Ramier à proximité immédiate du centre de Toulouse. C’est un pur stade de football ou de rugby, sans piste d’athlétisme autour de la pelouse.
Ce stade a son histoire :
La construction du Stadium a été décidée alors que Étienne Billières était maire de Toulouse. Il s’intègre dans l’ensemble du Parc municipal des Sports conçu par l’architecte Jean Montariol qui comprend également la piscine Nakache. Il est inauguré, dans sa première configuration, en 1937, en préparation à la Coupe du Monde 1938. Il est alors surnommé "Le petit Wembley" car son allure rappelle celle du mythique stade londonien. Le stade a subi deux profondes rénovations, en 1949 et surtout en 1997 pour la Coupe du Monde 1998 avec une augmentation de la capacité d’accueil à 40 500 places. Depuis cette date, le Stadium bénéficie régulièrement d’améliorations ; ainsi, à l’été 2005, des panneaux publicitaires numériques ont été installés (le Stadium étant alors le second stade français, après le Stade de France, ainsi équipé), les deux écrans géants ont été changés et agrandis, un restaurant et une bodega ont été créés et en 2007, les sièges alors en béton sont remplacés par des sièges en plastiques de couleur violet et blanc avec les inscription TFC. En 2007 à l’occasion de la Ligue des Champions, une horloge géante effectuant le décompte des jours avant que « la Ligue des Champions ne fasse vibrer le Stadium » avait été installée. Idem pour la Coupe du Monde de Rugby 2007.
Le match de football le plus mémorable ayant eu lieu au Stadium reste le premier tour retour de la Coupe UEFA entre le TFC et le Naples du grand Diego Maradona, le 1er octobre 1986. Ce soir-là, les Toulousains, vaincus 1-0 à l’aller, refont leur retard pendant le temps réglementaire avant de se qualifier aux tirs au but à la surprise générale, Maradona lui-même échouant sur le poteau du gardien toulousain Bergeroo lors du tir décisif.
Le stade, situé à moins d’un kilomètre de l’usine AZF, a subi d’importants dégâts lors de l’explosion de celle-ci le 21 septembre 2001. Plus de six mois de travaux ont été nécessaires à sa remise en état, pour un coût de plus de 600 000 €. Pendant cette période, l’équipe fanion du Téfécé (alors en National) évoluait au Stade Ernest-Wallon qui est occupé habituellement par le Stade toulousain.
Inspecté en juin 2009, il est apparu qu’il faudrait augmenter sa capacité de 5 000 places pour qu’il puisse accueillir l’Euro 2016.
Depuis le 5 novembre 2009, le virage Est du Stadium a changé son nom en virage Brice Taton. Le TFC a également rendu hommage à Brice en dévoilant une plaque à son nom au-dessus de la porte 11 sur laquelle est inscrit "Brice Taton, supporter du TFC décédé tragiquement le 29 septembre 2009 à Belgrade".
En conclusion, je dirai que si le temps nous le permet on pourrait faire un tour dans cette enceinte mythique pour les passionnés de football et de rugby, où de grands moments se sont passés.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Stadium_(Toulouse))
Dimanche
Je me suis levé de bonne heure pour ne pas rater l’avion et être au rendez-vous fixé à 11h30.
Après une longue attente nous avons décollé à 12h30 avec la compagnie d’avion Easyjet. Nous sommes arrivés une heure après à l’aéroport de Toulouse appelé Blagnac.

Nous avons attendu un moment avant de prendre le bus en direction du centre de la ville. Pendant ce temps, nous avons profité pour manger un sandwich, d’autres jouaient aux consoles de jeux, et d’autres visitaient l’aéroport. Nous étions impatients de savoir comment était cette ville et on craignait s’installer dans un hôtel n’ayant aucun confort.
Il faisait beau et l’hôtel était plutôt chaleureux. Il s’appelle l’hôtel des ambassadeurs

À la réception, on a eu on peut le dire un grand sourire et nous sommes tout de suite monté voir nos chambres.
Ensuite, nous sommes donc partis directement en direction vers le stade de Toulouse mais pas pour jouer au foot mais assister au festival des jeux se déroulant dans un entrepôt qui était à côté de celui-ci.

Il y avait donc plein de jeux de société et de logique. Tout cela dans une ambiance plutôt médiévale. Je dois dire que ce n’était pas déplaisant, moi qui ne m’intéresse pas à ces jeux.
Arrivé le soir nous étions libres , et nous essayons de voir où étaient les endroits où l’on allait manger et passer toute cette semaine.
Lundi
Nous avons visité la cité de l’espace tôt le matin.

En voyant la fusée qui se tenait à l’entrée, j’étais très impatient d’y rentrer. Quand nous sommes arrivés donc à cet endroit très vaste nous sommes entrés dans un autre monde, celui du ciel et de l’espace, où l’on se pose beaucoup de questions encore.
Cependant grâce aux informations que nous fournissait cet endroit à 3 étages, grâce aux expositions présentées et aux films regardés, nous avons pu répondre à beaucoup d’entre elles.
Par exemple, nous avons vu un film en 3D sur le téléscope Hubble et la station ISS. Étant plutôt fatigué après une courte nuit j’avais peur de m’endormir pendant ce film. Mais dès qu’il a commencé, celui-ci était fort intéressant et il était à vous couper le souffle !. Alors je ne pouvais rater de voir les galaxies, les planètes, et comment les astronautes vivaient à l’intérieur de l’engin. Le planétarium était aussi intéressant.
Le soir nous avons mangé dans restaurant où nous avons pu déguster les spécialités de Toulouse, moi j’avais pris le cassoulet.
Mardi
Nous avons visité le capitole, où de beaux tableaux nous étaient exposés à l’intérieur. A l’extérieur, une grande place où tout le monde se donnait rendez-vous et où étaient d’autres touristes.

Après nous avons fait du lèche vitrine où je notai que les prix ne changeaient pas beaucoup par rapport à ceux de Genève.
Le soir nous sommes allés voir le match de la ligue des champions dans un bar où régnait une bonne ambiance. Après cela nous avons eu la chance de faire la rencontre de charmantes toulousaines avec lesquelles on a passé un bon moment. J’ai remarqué que les habitants de Toulouse étaient plutôt ouverts et chaleureux.
Mercredi
Avant de partir pour aller voir comment étaient construits et entretenus de grands avions, nous avons fait un examen de quelques questions, où les élèves de deuxième année voulaient absolument être ensemble pour nous montrer tout leurs talents. Mais nous étions pas tous les troisièmes car certains avaient décidé de continuer à dormir..
Nous avons fait la visite de Airbus, où de grands avions étaient construits et forgés.
C’était impressionnant et le mot énorme serait plutôt bien placé dans ce cas là.
Maintenant, j’ai la chance de pouvoir dire que j’étais dans le Concorde, un avion très connu par son bec et je dirais même qu’il sera légendaire, pris souvent par les hommes d’affaires et les personnes riches de cette époque là.

Le A380 était lui aussi épatant par sa taille, j’espère bientôt le prendre parce que après la visite avec notre "hôtesse", je l’ai trouvé très confortable.

J’ai pu acheter à la fin un souvenir, pour me rappeler de ce que mes yeux ont pu admirer. Je peux effectivement dire que cette expérience je ne pourrai l’oublier !
Jeudi
Nous nous sommes levés tard et nous avons préparé nos valises pour rentrer a Genève. J’ai pris part au petit déjeuner que nous avait servi l’hôtel, qui était d’ailleurs très bon, je savourais mes derniers instants dans sur sol français, plus précisément les derniers instants à Toulouse.
Pendant le vol je me remémorais ces bons moments vécus à Toulouse.
Après 5 jours de beau temps, je suis rentré chez moi un peu fatigué mais très content d’avoir pu connaitre cette ville de Toulouse, car les gens étaient très accueillants, et la ville totalement chaleureuse.
Ce séjour m’a enrichit de plein d’informations en lien avec l’espace, le ciel et la physique et il m’a permis de vivre des moments inoubliables.
Comment obtenir les performances d’un véhicule à partir de ses caractéristiques techniques.
par Yannis Pieraggi par
Dans cet article, je tâcherai de modéliser le comportement d’une voiture en mouvement, en prenant compte des caractéristiques du constructeur.

Avant de commencer, il faut choisir une voiture. J’ai utilisé les données techniques d’une BMW M3-E46 CSL, quitte a choisir une voiture, autant en prendre une qui soit prestigieuse.
Je commencerai par construire un modèle simple en deux dimensions, avec l’accélération de la voiture définie comme la somme des forces divisée par la masse. Après je rajouterai la force de frottement et je changerai la vitesse en kilomètres par heure au lieu des mètres par seconde.
les caractéristiques fournies par le constructeur
Nous prendrons donc le cas d’une voiture, démarrant à l’arrêt, donc en position nulle, dont la vitesse et l’accélération sont nulle. Nous nous pencherons sur sa vitesse, son accélération ainsi que sa position au cours du temps. Les caractéristiques techniques de la voiture (dimensions, puissance, ...) nous sont fournies par le constructeur. Nous utiliseront l’intégrateur numérique STELLA pour construire un modèle et obtenir des sorties graphiques.
– Les conditions initiales de la voiture sont donc $v=0, a =0, x=0$
– Note : masse volumique de l’air $\rho=1.293kg/m^3$
Le modèle
Nous savons que l’accélération d’un objet (ici d’une voiture) dépend de la force résultante divisée par la masse. Pour l’instant le modèle ne comporte pas encore la force de frottement, je la rajouterai dans le modèle suivant. Il y a seulement la force de traction de la voiture.
Pour définir l’accélération d’un mobile, on utilise la force de traction et la masse du véhicule. L’accélération est donc la somme des force (ici simplement la force de traction) divisée par la masse.
– Afin d’exprimer les chevaux en watt, il faut multiplier les chevaux par 736 (l’on passe des chevaux a la puissance) puis diviser cette puissance obtenue par la vitesse du véhicule plus 20, afin d’éviter que la force de traction soit nulle si la vitesse est égale à 0 (ici l’ont passe de la puissance à la force de traction).

Il s’agit du modèle le plus simple, parce qu’il ne prend pas en compte la force de frottement. Mais sans la force de frottement l’accélération de la voiture est constante et n’arrête pas d’augmenter et tend vers l’infini, de même que la vitesse qui augmente sans fin, parce que la voiture n’est pas freinée pas la force de frottement.

Ajout de la force de frottement au modèle
Une fois ce modèle construit, on peut rajouter la force de frottement. Comme la force de traction est une force qui tire la voiture vers l’avant (le mot "traction" vient de tracter, d’ailleur cette BMW est une traction, bien que dans le cas des voitures à propulsion, on devrait logiquement appeller cela la force de propulsion) la force de frottement est une force qui freine la voiture, et qui se soustrait donc à la force de traction. Je rappelle juste que pour définir l’accélération. il s’agit de la résultante des forces, donc la force de traction moins la force de frottement, le tout divisé par la masse du véhicule.
– La force de frottement dépend du coefficient de pénétration (Cx), du de la masse volumique du milieu (rho), de la section apparente (S), qui est la hauteur fois la largeur du véhicule, et du carré de la vitesse (v au carré).
Construisons donc ceci :

– Afin de passer des mètres par seconde au kilomètres par heure (qui reste quand même une unité plus pratique), il faut multiplier la vitesse par 3,6.
Et voila le modèle final !

Données techniques
Le résultat sous forme graphique

Performances de la BMW M3-E46 CSL selon STELLA
Cette voiture met 5.08 s pour passer de 0 à 100 km/h
Sa vitesse maximale est 266.62km/h et elle l’atteint au bout de 119.99 s soit 1 minute et 59.99 s
Elle met 23.27 s pour faire 1000m
données constructeur
En résumé
Nous pouvons donc dire que notre précision est bonne, sans être exceptionnelle. Notre manque de précision comparé aux données du constructeur est dû a certaines forces qui ont été simplifiées (comme prendre l’aire d’un rectangle pour la surface d’une face avant de voiture, ce n’est pas très précis), ou d’autres forces qui n’ont pas été prises en compte (telles que la force de frottement des pneus et de la route, etc ...) De plus sur le site ou figure les données constructeur, les mesures sont souvent revues à la hausse, afin de promouvoir les performances de la voiture.
Mais en fin de compte notre simulation est juste et la précision est acceptable.