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Ressources pour les enseignants et les élèves du secondaire II.

Journées hors-cadre 2009-2010
Toulouse, relation de voyage
Visite de la Cité de l’espace et d’Airbus

La description de notre voyage hors-cadre à Toulouse, la ville rose

Article mis en ligne le 11 mai 2010
par Stephan Duong par

Toulouse est la ville principale du Sud-Ouest de la France.
Elle est surnommée "la ville rose" en raison de la construction de la ville en brique de terre cuite.
Toulouse est une technopole européenne qui regroupe de nombreuses industries de pointe en matière d’aéronautique et de spatial.
On peut y trouver de nombreux lieux de visite, tel que la cité de l’espace et la firme Airbus.


Toulouse


 Dimanche 25 avril
Notre voyage débute à l’aéroport de Genève, à 12h25, à bord de l’airbus A319. La commande d’easyJet portant sur A319 est l’une des plus importantes commandes de toute l’histoire de l’aviation.
Nous sommes arrivés à Toulouse à 13:40 et nous sommes allés déposer nos valises à l’hôtel des Ambassadeurs.
Nous avons ensuite commencé notre visite dans Toulouse en se rendant au festival des jeux à pied. Nous avons eu la possibilité d’admirer le stade de foot de Toulouse où se déroulait au moment même un match entre Auxerre et Toulouse.
Arrivé au festival des jeux, nous avons eu la possibilité de découvrir de nombreux jeux et de s’amuser.
Nous sommes ensuite retournés à l’hôtel et nous avons eu la liberté de manger où l’on voulait. Nous sommes allés manger à Quick, un fastfood qui n’existe qu’en France. Nous avons ensuite fait la visite nocturne de Toulouse, une ville pleine de vie et d’habitants sympathiques.

Festival du jeu

 Lundi 26 avril
Nous nous sommes levés tôt pour prendre le petit déjeuné et nous sommes ensuite allés visiter la Cité de l’Espace.
Nous avons eu une visite libre de la Cité de l’Espace entre 09:30 et 11:30.
Les sujets abordés dans ce lieu sont : "De la terre à l’espace", "Communiquer à distance", "Pôle météo", "Vivre dans l’espace" et "Explorer l’univers".
De nombreuses expériences étaient à disposition pour mieux captiver les visiteurs et leur permettre de mieux comprendre l’espace.
Nous avons ensuite mangé au restaurant de la Cité de l’Espace.
La visite continua jusqu’à 14:00 où nous nous sommes rendus à l’Imax où l’on a vu un film en 3D sur la station spatiale ISEE.
Nous avons ensuite vu à 15:30 au planétarium "Des planètes aux galaxies" qui fut très beau à voir et nous étions confortablement assis.
Lors de la fin de la visite, nous sommes rentrés et nous sommes allés manger tous ensemble à un restaurant qui nous proposait des plats de spécialités toulousaines.
Nous sommes ensuite libres pour nous balader dans cette ville mais malgré tout nous avons une heure de retour à respecter. Nous nous somme rendus à un bar d’universitaires où l’ambiance était très conviviale et familiale.

Cité de l’Espace

 Mardi 27 avril
Nous avons eu la matinée libre qui a permis pour mes camarades et moi de bien nous reposer et d’avoir la force nécessaire pour visiter la ville l’après midi.
A midi, nous sommes allés manger au Subway, une sandwicherie qui fait d’énormes sandwichs pour un petit prix.
Nous sommes ensuite allés visiter la ville de Toulouse, nous avons visité la place du Capitole, la place centrale de Toulouse où se trouve énormément de gens. Nous avons pu nous rendre à la salle des Illustres et à la salle des mariages. Et nous nous sommes ensuite rendu au couvent des Jacobins, au Pont Neuf, à la Cours intérieure de l’hôtel Assezat et pour finir à la place Esquirol. Nous n’avons malheureusement pas pu voir le trottoir électrique.
Nous avons ensuite été libérés pour visiter la ville ou pour faire du shopping.
Nous y trouvons énormément de magasins de vêtements et de chaussures mais les prix n’étaient pas donnés.
Après de longues marches, nous sommes retournés à l’hôtel pour nous reposer.
Nous sommes ensuite sortis manger au Macdonald et nous nous sommes de nouveau rendus au bar des universitaires.

Le Capitole

 Mercredi 28 avril
Le matin après le petit déjeuné, les professeurs nous ont proposé un atelier comportant différents problèmes à examiner, tel que la poussée de l’Airbus A319, la poussée de la fusée Saturne V, la période d’un satellite en orbite basse et la vitesse d’un satellite géostationnaire.
Ensuite nous sommes allés acheter notre repas du midi au supermarché du coin et nous sommes allés visiter les halles de montage de l’airbus A380. Pour nous rendre à ce lieu, nous avons énormément marché mais la visite en valait la peine. Nous avons pu monter à bord d’un concorde mais évidemment cellui-ci n’a pas décollé. Nous avons aussi pu visiter tous les halles de montage d’airbus et nous avons appris énormément de choses sur cette incroyable installation d’un airbus.
Sur le chemin du retour de notre visite, nous avons vu un KFC, un fastfood qui fait des poulets excellents, et nous nous y sommes rendus. Nous avons pu manger d’excellents poulets avec des frites et une boisson à volonté.
Nous avons ensuite été libérés pour faire ce qu’on voulait de notre dernière soirée à Toulouse. Nous avons essayé plusieurs endroits sympathiques que les gens nous avaient suggérés et nous sommes ensuite rentrer à l’hôtel pour passer notre dernière nuit.

Airbus

 Jeudi 29 avril
Notre voyage à Toulouse prend fin, nous sommes retournés à Genève.

Mon impression

Cette semaine hors-cadre a été géniale, nous avons une semaine très ensoleillé et nous avons pu visiter et apprendre énormément de choses touchant le ciel et l’espace. Ce voyage m’a permis de quitter un peu notre classe pour apprendre des choses de différentes manières que par théorie en classe. L’ambiance était géniale, j’ai pu faire la connaissance de mes camarades de classe en 2ème année et nous avons eu des professeurs accompagnant très gentils. J’espère pouvoir revivre cette expérience dans mes prochaines années d’étude et je conseille vivement de visiter cette ville surprenante et incroyable.

Flux et réservoir
STELLA : un intégrateur numérique
Comment trouver l’aire sous une courbe

Un flux connecté à un réservoir réalise une « intégration » pas à pas sur le temps de la fonction se trouvant dans le flux.

Article mis en ligne le 15 février 2006

Lorsqu’on lance une simulation avec un modèle comportant un flux connecté à un réservoir, STELLA calcule à chaque pas une aire élémentaire et ajoute le résultat au contenu du réservoir. Cette aire est approximée par celle d’un petit rectangle dont la hauteur est donnée par la hauteur de la courbe en ce temps là et dont la base est égale au pas d’intégration dt. Le nombre de rectangles est déterminé par la durée de la simulation : n= (tmax-tmin)/dt


Le plus simple des modèles comporte un flux connecté à un réservoir :

Modèle comportant un flux connecté à un réservoir
Durant la simulation, STELLA intègre pas à pas la fonction se trouvant dans le flux et ajoute à chaque pas le résultat au contenu du réservoir.

Malgré sa simplicité, ce type de modèle permet déjà d’obtenir des comportements d’une étonnante variété. Que fait au juste STELLA lorsqu’on lance une simulation avec ce modèle ? Il réalise pas à pas l’intégration numérique de la fonction qui se trouve dans le flux.

Exemple

Modèle permettant d’obtenir la vitesse d’un mobile à partir de sa vitesse initiale et de son accélération :

Modèle permettant d’intégrer une accélération
Le flux contient une fonction définissant l’accélération. L’évolution du contenu du réservoir au cours du temps donne l’horaire de la vitesse.

Le flux contient une fonction définissant l’accélération. L’évolution du contenu du réservoir au cours du temps donne l’horaire de la vitesse.

Considérons un cas bien connu en cinématique. pour illustrer ce processus. Lorsqu’un mobile initialement à l’arrêt subit une accélération a constante, nous savons que sa vitesse après un intervalle de temps dt est égale au produit de cette accélération par cet intervalle de temps : v=adt. Ce produit représente l’aire d’un petit rectangle de hauteur a et de base dt. A chaque pas dt, STELLA calcule donc l’aire d’un petit rectangle et ajoute le résultat du calcul au contenu du réservoir initialement vide. STELLA opère donc la somme de ces aires élémentaires au cours de la simulation. La variation du contenu du réservoir donne ainsi l’évolution de la vitesse du mobile au cours du temps. Au terme de la simulation, le contenu du réservoir correspond à l’aire totale qui se trouve entre l’axe horizontal et la « fonction » donnant l’accélération (qui est une constante dans ce premier exemple). Cette aire totale, appelée « intégrale », donne la vitesse du mobile au temps t=tfinal.

Intégration d’une accélération constante : si accélération est constante, son intégrale sur le temps se calcule très simplement. Elle est égale à l’aire at.

Pas besoin de STELLA pour traiter ce premier cas, direz-vous ! Oui d’accord, mais si l’accélération n’est plus constante et est une fonction du temps, comme c’est très souvent le cas lorsque des forces de frottement dépendant de la vitesse interviennent, l’usage du logiciel prend tout son sens :

Intégration d’une accélération qui dépend du temps : lorsque l’accélération varie au cours du temps, le logiciel STELLA offre une aide précieuse pour obtenir la vitesse par intégration de l’accélération.