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Ressources pour les enseignants et les élèves du secondaire II.

Journées hors-cadre 2009-2010
Toulouse, relation de voyage
Visite de la Cité de l’espace et d’Airbus

Le texte qui va suivre parle de notre voyage d’OS à Toulouse.

Article mis en ligne le 12 mai 2010
par David Vilar-Sequeira par

L’article que je vais écrire parlera des activités que nous avons pratiqué à Toulouse et ce que j’en ai pensé.


Dimanche 25 avril 2010
Le rendez-vous à l’aéroport était à 11h, plus de temps qu’il n’en fallait pour prendre l’avion mais les maîtres ont voulu bien prévoir le coup ! A 13h40 nous étions arrivé à Toulouse, cependant l’attente avant d’arriver à l’hôtel a été longue… Nous avons du patienter un peu plus d’une heure à l’aéroport, les guichets de vente de billets de transport n’avaient pas encore ouvert. Une fois les billets en notre possession, nous avons pu nous rendre à la gare Matabiau qui se trouve à quelques minutes de l’hôtel où nous allions dormir : l’Hôtel des Ambassadeurs. Pour cette première journée, nous avons visité un festival où les jeux étaient au rendez-vous ! Nous y sommes resté plus ou moins une heure et sommes rentré à l’hôtel. Pour le diner et le soir, les maîtres nous ont laissé carte blanche. Nous nous sommes séparés en deux ou trois groupes. Chaque groupe est parti de son côté. Mes compagnons et moi sommes allé mangé dans un fast food puis avons visité la ville. Aux alentours de minuit, nous avons aperçu un groupe de trois filles Toulousaines qui avaient l’air d’avoir beaucoup bu. Plus particulièrement l’une d’entre elle qui avait l’air très mal au point, Michael et moi sommes donc aller l’aider, et l’avons raccompagné jusqu’à chez elle. Ce fût fatigant parce qu’elle ne faisait aucun effort, mais en tant que bons Saints-Maritain, nous n’avons pu l’abandonner à son triste sort. Nous sommes rentré à l’hôtel vers 1h30 et avons vu les enseignants qui étaient assis dans le café à côté de ce dernier. Nous leur avons expliqué ce qui nous était arrivé et sommes allé nous coucher.

Lundi 26 avril 2010
Le réveil a été rude, nous avons peu dormi. Mais si nous nous sommes levé tôt ce n’est pas pour rien, c’est parce qu’il était prévu que nous allions à la Cité de l’Espace ce jour là. J’ai adoré la visité, une grande exposition très interactive où toute personne un peu curieuse ne peut s’ennuyer. Ce qu’il y était montré était fort intéressant, nous y sommes resté toute la journée, mais il aurait fallu au moins 3 jours pour la visiter complètement. Il y avait 3 étages d’expositions entre autre sur la découverte de l’espace, les préparations aux voyages spatiaux, etc. Puis dans un autre bâtiment se trouvaient : une salle de cinéma 3D et un planétarium. Le film en 3D avait pour sujet « Hubble » un énorme télescope spatial qui nous permet d’observer notre univers à des distances inimaginables. Dans le planétarium on a pu voir ce qui se trouvait tout autour de notre terre, un « guide » nous a accompagné tout au long de notre voyage intersidéral. Cette journée à la Cité de l’Espace a été très sympa. Ça a été l’activité organisé que j’ai le plus apprécié. Je crois que ça a été ce jour là que je suis tombé malade, mais rien d’alarmant. A la fin de cette journée, nous sommes rentrés à l’hôtel, puis avons été libéré pour manger dehors, rien de spécial à signaler lors de la soirée !


Mardi 27 avril 2010
Ce matin là il n’y avait rien de prévu, nous avons donc pu nous lever à l’heure que nous voulions. Réveil douloureux, mon mal de gorge avait empiré. En début d’après-midi nous avons visité Toulouse tous ensemble, mais le manque de motivation des élèves a fait que nous l’avons interrompue plus tôt que prévu et par conséquent avons eu le reste de la journée de libre. Ce soir là je ne suis pas sorti, je suis resté à l’hôtel, j’étais bien trop malade pour faire quoi que ce soit !


Mercredi 28 avril 2010
Le matin nous avons participé à un cours de consolidation à l’hôtel, présenté par nos enseignants. J’étais encore bien malade et n’ai pas pu beaucoup aider mon groupe. Cette après-midi toute la classe s’est rendue à Airbus, mais je n’en ai pas eu l’occasion. Je ne me sentais pas suffisamment bien pour m’y rendre et suis donc rester à l’hôtel pour me reposer. J’ai dormi jusqu’à leur arrivé, c’est-à-dire jusqu’à 18h30 à peux près. Après ce petit somme je me sentais en bien meilleur forme ! J’ai pu donc sortir avec mes camarades ce soir là. Nous sommes rentré assez tard cette nuit là, mais c’était la dernière nuit passé à Toulouse, il fallait bien en profiter n’est-ce pas ?


Jeudi 29 avril 2010
Dernier jour à Toulouse, nous avons du nous réveiller assez tôt pour préparer nos valises. J’étais assez content de rentrer à Genève parce que j’étais malade, mais j’aurais bien voulu y rester encore quelques jours si j’avais été en meilleur forme ! Nous avons mangé à l’aéroport, et avons profité des derniers moments que nous allions passé à Toulouse tous ensemble.


Conclusion
J’ai beaucoup apprécié ce voyage ! En ce qui concerne nos visites, ce que j’ai préféré reste la Cité de l’Espace. Et en ce qui concerne notre temps libre j’ai particulièrement la nuit de mercredi à jeudi. Mais j’ai aussi aimé ce voyage parce qu’il nous a permis de nous rapprocher et de mieux connaître certains élèves de Bouvier que je connaissais pas, les troisièmes qui sont venus avec nous. Pour dire que je trouve que ce voyage a été une réussite, les enseignants qui étaient là avec nous ont été très sympathiques. J’ai failli oublier… j’ai adoré les petits déjeuners à l’hôtel !

Flux et réservoir
STELLA : un intégrateur numérique
Comment trouver l’aire sous une courbe

Un flux connecté à un réservoir réalise une « intégration » pas à pas sur le temps de la fonction se trouvant dans le flux.

Article mis en ligne le 15 février 2006

Lorsqu’on lance une simulation avec un modèle comportant un flux connecté à un réservoir, STELLA calcule à chaque pas une aire élémentaire et ajoute le résultat au contenu du réservoir. Cette aire est approximée par celle d’un petit rectangle dont la hauteur est donnée par la hauteur de la courbe en ce temps là et dont la base est égale au pas d’intégration dt. Le nombre de rectangles est déterminé par la durée de la simulation : n= (tmax-tmin)/dt


Le plus simple des modèles comporte un flux connecté à un réservoir :

Modèle comportant un flux connecté à un réservoir
Durant la simulation, STELLA intègre pas à pas la fonction se trouvant dans le flux et ajoute à chaque pas le résultat au contenu du réservoir.

Malgré sa simplicité, ce type de modèle permet déjà d’obtenir des comportements d’une étonnante variété. Que fait au juste STELLA lorsqu’on lance une simulation avec ce modèle ? Il réalise pas à pas l’intégration numérique de la fonction qui se trouve dans le flux.

Exemple

Modèle permettant d’obtenir la vitesse d’un mobile à partir de sa vitesse initiale et de son accélération :

Modèle permettant d’intégrer une accélération
Le flux contient une fonction définissant l’accélération. L’évolution du contenu du réservoir au cours du temps donne l’horaire de la vitesse.

Le flux contient une fonction définissant l’accélération. L’évolution du contenu du réservoir au cours du temps donne l’horaire de la vitesse.

Considérons un cas bien connu en cinématique. pour illustrer ce processus. Lorsqu’un mobile initialement à l’arrêt subit une accélération a constante, nous savons que sa vitesse après un intervalle de temps dt est égale au produit de cette accélération par cet intervalle de temps : v=adt. Ce produit représente l’aire d’un petit rectangle de hauteur a et de base dt. A chaque pas dt, STELLA calcule donc l’aire d’un petit rectangle et ajoute le résultat du calcul au contenu du réservoir initialement vide. STELLA opère donc la somme de ces aires élémentaires au cours de la simulation. La variation du contenu du réservoir donne ainsi l’évolution de la vitesse du mobile au cours du temps. Au terme de la simulation, le contenu du réservoir correspond à l’aire totale qui se trouve entre l’axe horizontal et la « fonction » donnant l’accélération (qui est une constante dans ce premier exemple). Cette aire totale, appelée « intégrale », donne la vitesse du mobile au temps t=tfinal.

Intégration d’une accélération constante : si accélération est constante, son intégrale sur le temps se calcule très simplement. Elle est égale à l’aire at.

Pas besoin de STELLA pour traiter ce premier cas, direz-vous ! Oui d’accord, mais si l’accélération n’est plus constante et est une fonction du temps, comme c’est très souvent le cas lorsque des forces de frottement dépendant de la vitesse interviennent, l’usage du logiciel prend tout son sens :

Intégration d’une accélération qui dépend du temps : lorsque l’accélération varie au cours du temps, le logiciel STELLA offre une aide précieuse pour obtenir la vitesse par intégration de l’accélération.