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Ressources pour les enseignants et les élèves du secondaire II.

Journées hors-cadre 2009-2010
album photos de Toulouse
visites, activités à Toulouse

quelques photos prisent sur le vif à Toulouse

Article mis en ligne le 11 mai 2010
par Eva Crisafulli par

Figée, l’image ne bouge pas, prise sur le vif, elle subit le flash !


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le Capitole, belle façade

le Capitole, beau plafond

le Pont Neuf, sur la Garonne

la cour intérieur de l’Hôtel d’Assézat

airbus, une affiche

la Garonne

la Garonne

la fusée Ariane à la cité de l’espace

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401AMos
Autoriser Internet aux examens
Internet aux examens : oui. Tricher : non !

Tricher c’est pas beau !

Article mis en ligne le 28 mars 2010

En 2009, le Danemark a pris une mesure pour le moins surprenante et a décidé d’autoriser l’accès à Internet aux étudiants lors de leurs examens de fin d’année.

Et si les établissements s’équipaient avec des iPad et du Wifi, ne serait-ce pas une solution à étudier ? En plus des avantages pédagogiques, nous y voyons quelques avantages en termes de mobilité et de coût.

Voir aussi notre précédent article Autoriser les iPhones durant les examens


La BBC rapporte que 14 établissements de l’enseignement secondaire et supérieur ont été choisis pour un programme pilote avant la mise en place de ce dispositif à l’échelle nationale en 2011.

Sanne Yde Schmidt, responsable du projet pour le lycée Greve High School à Copenhague, explique :

si vous voulez être une école au top et leur transmettre des choses qui ont un sens pour eux dans la vie moderne, il vous faut leur apprendre à utiliser Internet.

Ces étudiants seraient autorisés à surfer n’importe où sur la Toile, y compris sur leurs réseaux communautaires favoris. En revanche ils n’ont pas le droit de communiquer entre eux ni avec une personne se trouvant à l’extérieur de la salle de classe... même si les établissements n’ont mis en place aucun outil de filtrage ou de vérification. Hélas pour les tricheurs, l’équipe des iLES a un peu d’avance [1]

La plus grande précaution que nous prenons c’est d’avoir confiance en eux

explique Melle Schmidt avant d’ajouter :

je pense que le taux de triche est très bas parce que les conséquences sont très lourdes.

Interrogés par la BCC, plusieurs étudiants affirment pour leur part qu’ils n’ont tout simplement pas le temps de tricher. En effet, la nature même de l’examen aurait considérablement changé. Plutôt que de devoir réciter son cours, l’élève devrait montrer ses aptitudes à fouiller de l’information et analyser cette dernière.

Dans la salle de classe, nos examens doivent refléter la vie de tous les jours et la vie quotidienne en classe doit refléter celle de la société.

Le ministre de l’éducation du Danemark, M. Haarder, estime que les autres pays devraient adopter un système similaire à l’avenir.